françoise morvan

Françoise Morvan, la brittophobe; vue par Morvan Françoise, la brittophile

de NHU Bretagne

Je suis Françoise Morvan, Canadienne et brittophile

Je m’appelle Françoise Morvan, suis née au Canada et y vit depuis ma naissance. Mes parents sont venus s’y installer il y a quelques décennies de cela. La généalogie de ma famille Morvan dont je dispose m’indique le Kreiz Breizh, le centre de la Bretagne, comme région d’origine.

J’ai beau être canadienne, je suis également profondément et intensément Bretonne. Brittophile même.
C’est en faisant il y a quelques temps des recherches généalogiques sur Google que par hasard, j’ai découvert qu’existe en Bretagne une homonyme. Donc une autre Françoise Morvan. Cette autre Françoise Morvan, que je ne connais absolument pas, est présentée comme éditrice, rédactrice …
J’écris moi-même un peu, en anglais et en français, pour moi et ma famille, pour mon plaisir. Heureuse de rencontrer une homonyme maniant la plume comme moi, je me suis un peu plus intéressée à cette autre Françoise Morvan

Et j’ai découvert une Françoise Morvan sacrément brittophobe.

Quand j’ai fait des recherches sur ce terme « brittophobe », j’ai découvert que NHU Bretagne avait déjà publié sur ce sujet. Je me suis donc adressé à ce média, que je ne connaissais pas, pour publier ce texte.
Ce néologisme « brittophobe » est ainsi définit : « Manifestation d’un sentiment anti-breton que certains individus éprouvent à l’égard soit des Bretons eux-mêmes, soit de leur culture ou de leurs langues« 
Alors que le terme de brittophile, dont je me réclame, désigne, vous l’aurez compris, tout l’amour, toute la passion éprouvée à l’égard de la Bretagne, des Bretonnes et des Bretons, de la culture, du patrimoine, de la langue, de l’économie, de l’océan … de l’âme bretonne qui vit dans chaque arbre et dans chaque rocher de ce pays millénaire.

Pourquoi tant de haine de cette femme envers la Bretagne et les Bretons ?

Je peux imaginer que cette Françoise Morvan se répande à ce point de manière si nauséabonde si la Bretagne ou les Bretons lui avaient causé un tort inqualifiable.
Mais je n’ai rien trouvé de ce genre à son propos. Si c’eut été le cas, elle l’aurait mentionné à un moment ou à un autre. Je n’ai rien lu de tel.
Alors pourquoi ce déversement de haine et de rage ?
Étonnant de la part d’une personne qui porte le même patronyme qu’un roi de Bretagne de l’époque médiévale : Morvan Lez Breizh.

La Françoise Morvan brittophobe exècre et vomit tout signe de bretonnité.

Telle une harpie, cette Françoise Morvan là se met à tenir des propos outranciers, injurieux, racistes, xénophobes, par exemple dès qu’elle aperçoit un drapeau breton, le très fameux Gwenn ha Du que je vois parfois dans le fin fond du Saskatchewan.
Pour cette brittophobe maladive, le Gwenn ha Du aurait été créé par des nazis.
Or ce drapeau breton a été inventé par Morvan (ha ha décidément!) Marchal entre 1923 et 1925. Il n’est donc en rien une invention nazie, d’un régime fasciste qui débute en 1933.
Comment peut-on écrire des contre vérités historiques aussi grossières ?



Françoise Morvan, l’anti bretonne primaire, voit des nazis et des collabos partout dès qu’apparaissent des mots qu’elle abhorre, qu’elle haïe, comme : Bretagne, langue bretonne, brezhoneg …
Elle serait née en 1958, c’est à dire bien après la défaite de l’armée allemande. Donc elle bave en fabulant sur une période qu’elle n’a pas elle-même vécue.
Pour cette outrancière xénophobe, la langue bretonne aurait été organisée par le régime nazi des années 40. Alors que cette langue celtique est bien antérieure à la langue françoyse (ha ha décidément !! c’est bien ainsi que s’écrivait et se prononçait le mot actuel « française » au Moyen-Age).

Pour cette furibonde Françoise Morvan, même l’association Produit en Bretagne est « dangereuse ».

Évidemment, il y a le mot Bretagne dans Produit en Bretagne. Cela lui suffit amplement pour saliver et cracher.
Là, il serait difficile d’invoquer le régime nazi. Alors elle amalgame tout ce qui lui donne des boutons.
En vrac : Produit en Bretagne, ethnorégionalisme, Institut de Lokarn, Bonnets Rouges, Opus Deï, lobby patronal breton, Brittany Ferries, nationalisme (breton … le français elle aime), Groupe Yves Rocher, agrobusiness breton, Glon, Vallée des Saints, Parti Breton …
Bref, tout ce qui participe au développement économique, culturel et politique de la Bretagne n’est en rien recevable par la trop française Françoise Morvan.

La propagation du virus est contenue !

Seuls quelques médias d’état français dirigés de Paris accorde de temps en temps à la Françoise Morvan brittophobe un peu d’espace pour dire tout le mal qu’elle pense de la Bretagne et des Bretons.
Je pense que cette femme doit souffrir terriblement.
Les rares photos de cette Françoise Morvan que Google nous propose nous montre une Françoise Morvan triste, terne, rongée, par la haine sans doute, plus ou moins dissimulée sous une chevelure longue et sombre.
En effet, les traits d’un visage exprime souvent le coeur et l’âme. Ici tout est noirceur …

J’ai voulu écrire ce texte pour exorciser cette autre Françoise Morvan. La noire, l’outrageante, la xénophobe, la calomnieuse, l’infamante, l’anti bretonne primaire, la brittophobe …
Bref, tout ce que je ne suis pas, tout ce que je déteste dans ce monde.
Sur terre, il y a donc au moins deux Françoise Morvan : moi la brittophile au Canada et l’autre, la brittophobe à Paris

Je vous demanderai de bien vouloir excuser mes éventuelles quelques fautes d’orthographe ou de syntaxe. Car je parle plus souvent anglais que français.
Je remercie NHU Bretagne d’avoir bien voulu accepter de publier mon texte.

Propos de Françoise Morvan, la Canadienne brittophile.
Illustrations de NHU Bretagne

Soutenez votre média breton !

Nous sommes indépendants, également grâce à vos dons.

A lire également

2 commentaires

Hervé Brétuny 1 octobre 2024 - 11h26

ah on l’aime cette Françoise Morvan du Canada !!!

Répondre
Marie Noëlle Le Fur 4 octobre 2024 - 10h26

Madame Morvan/Paris ne s’aime pas, tout simplement…

Répondre

Une question ? Un commentaire ?

Recevez chaque mois toute l’actu bretonne !

Toute l’actu indépendante et citoyenne de la Bretagne directement dans votre boîte e-mail.

… et suivez-nous sur les réseaux sociaux :

Notre mission

NHU veut faire savoir à toutes et tous – en Bretagne, en Europe, et dans le reste du monde – que la Bretagne est forte, belle, puissante, active, inventive, positive, sportive, musicienne…  différente mais tellement ouverte sur le monde et aux autres.

Participez

Comment ? en devenant rédacteur ou rédactrice pour le site.
 
NHU Bretagne est une plateforme participative. Elle est donc la vôtre.